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Gagner facilement des points en histoire à Sciences Po

Gagner facilement des points en histoire à Sciences Po

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L’histoire à Sciences Po est certainement l’épreuve qui demande le plus de travail. Outre les nombreuses connaissances à acquérir, il vous faudra également comprendre les attentes méthodologiques. Une bonne dissertation d’histoire à Sciences Po est avant tout une copie bien problématisée et bien argumentée. Contrairement au bac, où une accumulation des connaissances un tant soit peu organisée est suffisante. Mais alors, comment gagner des points en histoire sans y passer des heures ? Oui oui, c’est possible…

  1. Lire les rapports de correction de l’épreuve d’histoire à Sciences Po.

Ceci est vrai pour toutes les matières, mais c’est certainement pour l’épreuve d’histoire que la méthodologie est la plus importante. Alors, n’attendez plus ! Lisez et relisez les rapports de correction du jury et les copies corrigées ! C’est une étape qui permet, avec peu d’efforts, de gagner beaucoup de points. Il ne s’agit pas ici de survoler les rapports de jury en début d’année puis de les oublier. Il faut les lire et les re-lire pendant toute votre préparation pour les intégrer à 100 % et en comprendre toutes les subtilités.

  1. Comprendre la dynamique argument/exemple.

C’est certainement la chose la plus importante à retenir concernant les attentes de l’épreuve d’histoire. Au bac, il faut restituer des connaissances, à Sciences Po, il faut construire une argumentation. Et argumenter c’est aussi illustrer vos arguments par des exemples. Ces exemples sont souvent des données historiques factuelles (événements précis, dates, lois, décisions politiques, etc.).

Il faut surtout ici : s’entraîner ! C’est souvent l’étape que les candidats repoussent et finissent par bâcler. Ce n’est pas l’étape la plus marrante, mais sans cela, tout le travail que vous avez fourni au préalable ne sert à rien. Il faut, au cours des derniers mois de révisions, faire 2 à 3 plans détaillés par mois. Cela doit devenir votre priorité. Essayez de ne pas vous laisser avoir par l’argument du « je n’ai pas fini mes révisions, je le ferai après ». Des révisions ne sont jamais finies, mais s’entraîner est ESSENTIEL !

  1. Lire le livre de René Rémond sur le XXe siècle pour gagner en qualité d’analyse. 

Pour affiner votre réflexion et gagner en qualité d’analyse, vous pouvez enfin vous pencher sur le livre de René Rémond, Introduction à l’histoire de notre temps – Le XXe siècle, de 1914 à nos jours. Ce livre est court, mais c’est une mine d’informations et de clés de lecture pour mieux comprendre le XXe siècle. Encore une fois, vous pourrez ainsi gagner beaucoup de points sans avoir à y passer des heures.

Et pour commencer à réviser l’épreuve d’histoire pendant les vacances d’été ou pendant votre année de première, vous pouvez vous pencher sur des romans, films ou BD qui permettent de mieux comprendre le XXe siècle : voilà la liste !

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6 ans à Sciences Po, de mon premier jour à ma remise de diplôme, quel bilan ?

6 ans à Sciences Po, de mon premier jour à ma remise de diplôme, quel bilan ?

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Est-ce qu’on travaille beaucoup à Sciences Po ? On y apprend des choses intéressantes ? Est-ce que les élèves se prennent pour « l’élite de la Nation » ? On choisit le pays qu’on veut en troisième année ? Autant de questions légitimes et qu’il est bon de se poser pour savoir si étudier à Sciences Po va vous plaire. Entre fantasmes et clichés, qu’est-ce qui se cache derrière cette scolarité, ces 6 ans à Sciences Po Paris ?

Le premier jour, l’anonymat

Ah le premier jour à Sciences Po… Le rêve que j’ai poursuivi pendant toute mon année de terminale. Ce pour quoi je me levais tôt le matin et me couchais tard dans la nuit… Ce pour quoi je choisissais de délaisser mes amis pour la lecture de The Economist ou du Berstein et Milza… Ah le premier jour à Sciences Po… Eh bien non, mon premier jour n’a pas été une réussite.

En premier lieu parce que n’ayant pas entendu mon réveil sonner, je suis arrivée avec 1 heure de retard, suante, mal habillée et effrayée à l’idée que j’allais être catégorisée de manière DÉFINITIVE parmi « les gens pas sérieux ». En arrivant dans le hall d’entrée, un étudiant de quatrième année m’a amenée dans une salle pour « les gens en retard »… Heureusement, avec 800 étudiants admis en première année, personne n’a remarqué mon retard et cela n’a eu aucune conséquence sur le reste de ma scolarité mais il faut avouer que ce n’est pas un début idéal.

C’est là que j’ai réalisé que, vu le nombre d’élèves par promo, il était très facile d’être complètement anonyme à Sciences Po, du moins sur le campus de Paris. Je n’ai pas parlé à grand monde ce jour-là et j’ai eu l’impression d’être complètement noyée dans la masse.

1e année, l’année studieuse

Évidemment, pour le reste de mon année, je suis arrivée à l’heure et n’ai plus eu de panne de réveil.  Heureusement, car le premier semestre à Sciences Po est certainement celui qui m’a demandé le plus de travail. Il faut acquérir ces méthodes de problématisation et d’argumentation propres à Sciences Po. Cela n’étant pas inné, ça demande un peu de sueur et quelques mauvaises notes avant d’ajuster tout ça. J’ai donc passé une bonne partie de ma première année à bosser en bibliothèque universitaire. Mais au fil de l’année, on gagne en efficacité et la charge de travail devient de moins en moins lourde.

En première année à Sciences Po Paris, les cours sont organisés de la manière suivante : un cours magistral en amphi est complété par un cours en « conférence de méthode » d’une vingtaine d’élèves. Les conférences de méthode sont le nom pompeux utilisé par Sciences Po pour qualifier ce qu’à la fac on appelle les TD (travaux dirigés). Les élèves qui suivent les mêmes conférences de méthode que vous font partie de votre « triplette » (car vous suivez trois conférences de méthode avec eux).

Les cours fondamentaux de la première année sont les suivants : histoire du XXe siècle, micro et macro-économie, institutions politiques, sociologie et sciences politiques.  Vous aurez également des ateliers artistiques à choisir (théâtre, danse, chant, écriture, photos…) et des cours divers et variés parmi un large choix : environnement, relations internationales, philosophie, humanité littéraire, etc.

La première année à Sciences Po se termine par un stage de terrain d’un mois minimum qui n’exige aucune qualification particulière. Sciences Po souhaite, à dessein, que ses étudiants effectuent un stage de terrain et pas un stage dans un bureau. J’ai pour ma part été vendeuse en librairie.

2e année, l’année des expériences extra-académiques

La deuxième année à Sciences Po est certainement celle qui vous demande le moins de travail. Vous avez désormais compris le fonctionnement des cours et ce qu’on attend de vous. Il est donc très facile de valider son année. C’est donc l’année idéale pour s’impliquer dans des associations, faire des petits boulots en parallèle, monter un projet, voyager, etc.

La deuxième année est également celle des « cours à la carte » : chaque étudiant choisit les cours qu’il souhaite suivre parmi un panel très large.

La deuxième année est enfin celle du choix de la destination de 3A (l’année à l’échanger). Réunion, lecture de rapport de 3A, rendez-vous individuel, prise de contact avec des étudiants déjà partis… chacun a ses tactiques pour choisir la destination de ses rêves (et l’obtenir). Car vous faites six vœux, parmi une liste de centaines de pays et d’universités différentes, et ensuite Sciences Po vous donne une affectation.

3e année, l’année à l’étranger

Je suis donc partie en Inde en troisième année, pour étudier la sociologie indienne à l’Université de Pune. Une année absolument inoubliable.

La troisième année est certainement la meilleure année à Sciences Po, et pour cause, vous passez un an dans un pays étranger, entre cours à la fac ou stage et voyage, loin de vos habitudes. C’est une année pleine de rebondissements et de belles découvertes. À n’en pas douter, ça vous transforme pour de bon !

La troisième année est enfin celle du choix du master que vous allez intégrer en septembre ! Question compliquée, surtout quand on est à l’étranger et que les voyages vous donnent beaucoup de nouvelles idées, mais peu de réponses. Pour ma part, j’ai changé de choix de master en juillet, une fois rentrée en France, ayant réalisé avoir fait le mauvais choix. J’avais choisi le master Affaires publiques filière culture et j’ai finalement intégré le master Communication. Aujourd’hui, avec le recul, je me dis que le master Journalisme aurait été mieux… Ah le choix de master…

4e année, l’entrée en master

La communication s’est avérée être un bon choix pour moi. Mais d’un master à un autre, la scolarité change beaucoup. La charge de travail, l’ambiance, les connaissances, l’état d’esprit… ne sont pas les mêmes. Pour connaître les masters à Sciences Po et leurs débouchés, vous pouvez lire notre article sur la question. 

La quatrième année est difficile, car pour beaucoup d’étudiants, il faut faire le deuil de la troisième année. Ce qui n’est pas une mince affaire. Même si le campus de Paris est très agréable, il est tout de même moins exotique que ce que nous venons de vivre.

Et puis surtout, en quatrième année, les choses sérieuses commencent, avec la recherche de votre premier stage de 6 mois dans votre spécialité.

La césure, le monde professionnel

Pour beaucoup d’étudiants, la césure est maintenant un passage obligé. Il s’agit d’une année de stage entre la première et la seconde année de master. La plupart des étudiants font alors deux stages de six mois. C’est un bon moyen de gagner en maturité et en expérience. Et donc d’augmenter vos chances d’être embauché à la fin de vos études. C’est également un moment propice à l’exploration pour ceux qui cherchent encore leur voie. Rien ne vous oblige à faire deux stages dans la même branche.

J’ai pour ma part fait mon premier stage chez Danone en innovation sociale et mon second stage dans l’un incubateur de start-ups sociales de la Ruche. Deux stages en communications et en entrepreneuriat social, mais dans des structures très différentes (entreprise du CAC40 puis association).

C’est, au même titre que l’année à l’étranger, une année très enrichissante et qui vous permet de mûrir d’un coup !

5e année, la fin

La plupart des masters (excepté le masters de Droit et l’Ecole de journalisme) ont organisé la dernière année autour d’un semestre de stage et d’un semestre de cours. C’est donc une année hybride pendant laquelle vous glissez dangereusement vers « l’après-Sciences Po ». À n’en pas douter, on sent que la fin approche.

La dernière année est aussi celle du Grand Oral, une étape obligée pour être diplômé de Sciences Po.  C’est, comme son nom l’indique, une épreuve orale d’une vingtaine de minutes pendant laquelle vous présentez, à un jury, un sujet choisi à l’avance. C’est plus une formalité qu’autre chose. Car présenter un sujet à l’oral et écrire une note de synthèse, c’est finalement ce qu’on vous apprend à faire pendant cinq ans.

Ma remise de diplôme, et maintenant ?

Je suis arrivée à l’heure cette fois. La remise de diplôme a lieu à la Maison de la radio, dans un auditorium magnifique… Ce qui permet de finir tout ça sur un jolie souvenir. Encadré de ses deux parents, le plus souvent très fiers de vous, ça va de soi…

On réalise alors qu’il est temps de conclure 6 années à Sciences Po. Ce n’est pas immédiat, mais en réalité, on est tous plus ou moins déjà lancé dans nos projets futurs. Et c’est finalement ça la bonne nouvelle : entre la première et la dernière année, tout est fait pour que vous puissiez entrer dans la « vie active » (oh l’horrible mot…) sereinement et avec de beaux projets à réaliser !

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Concrètement, ça mène à quoi, Sciences Po ?

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Le nombre de métiers possibles après une scolarité à Sciences Po est tellement vaste que je ne pourrais même pas vous proposer une liste exhaustive dans ce blog. De par la formation généraliste dispensée, de nombreux métiers vous sont ouverts, alors comment s’y retrouver ? Est-ce que Sciences Po est fait pour vous ?

6 secteurs principaux 

Les affaires publiques sont un peu le cœur historique de Sciences Po. C’est la raison même de la création de ces écoles. Ainsi vous pourrez, après Sciences Po, être (si vous êtes admis à un concours très sélectif) énarque, diplomate, administrateur territorial, directeur d’hôpital, directeur de musée ou d’un théâtre.

Le journalisme est également un des métiers prisés par les étudiants de Sciences Po. Sachez cependant que c’est une formation aussi passionnante que sélective et avec peu de débouchés.

Le droit est également devenu une des marques de fabrique de Sciences Po. Magistrat, avocat, commissaire de police… autant de métiers désormais accessibles après une formation dans un IEP et qui ne sont donc plus l’apanage des facultés de droit.

L’enseignements et la recherche en histoire, sociologie ou sciences politiques. Pour cela, il faudra intégrer un doctorat après votre master.

La coordination de projet dans les Droits de l’Homme, l’urbanisme ou l’environnement. Encore une fois, c’est ici la formation généraliste en sciences sociales et l’esprit de synthèse qui amènent naturellement les étudiants de Sciences Po vers ces métiers.

Le conseil en finance, en communication, en marketing et l’entrepreneuriat. Alors que ce dernier secteur était auparavant accessible aux diplômés d’écoles de commerce, Sciences Po commence petit à petit à gagner du terrain sur ce point.

La plupart des étudiants de Sciences Po intègrent un IEP sans vraiment savoir à quel métier ils se prédestinent. Mais ce n’est pas grave ! Les trois premières années étant généralistes, cela permet d’avoir un répit de trois ans pour choisir, répit non négligeable, d’autant plus que vous pourrez mettre ces trois premières années à profit pour faire des stages, des voyages et des rencontres inspirantes, et ainsi choisir plus sereinement la filière dans laquelle vous spécialiser.

Article lié : Quelles sont les matières enseignées à Sciences Po ?

 

 

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Quelles sont les matières enseignées à Sciences Po ?

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Quel que soit l’IEP que vous intégrerez, les matières enseignées restent, dans les grandes lignes, les mêmes. Mais avant de vous lancer dans la préparation d’un concours, il est bon de vérifier que l’enseignement dispensé à Sciences Po vous convient. Au-delà du cliché selon lequel on apprend uniquement à brasser du vent, qu’est-ce qu’on apprend réellement à Sciences Po ?

Une base généraliste en sciences sociales

L’histoire, le droit, les sciences politiques, l’économie et la sociologie sont les fondamentaux d’une formation à Sciences Po. L’idée est de former des généralistes qui auront besoin de piocher dans ces différentes disciplines pour gérer des projets ou des équipes. Dans tous les IEP, les premières années sont généralistes. Ainsi, la spécialisation en droit, en économie, en relations internationales, en journalisme ou en communication ne se fait qu’en master, soit les deux dernières années d’études.

Notez, contre les idées reçues, qu’il y a assez peu de littérature et de philosophie à Sciences Po. Les élèves s’en plaignent souvent d’ailleurs, ce n’est pas absent mais l’accent, n’est pas mis là-dessus. Une prépa A/L ou B/L est plus appropriée pour les amoureux des Lettres.

 Voir l’article : Qu’est-ce que la Science Politique ?

Des méthodes de travail et un esprit de synthèse très recherchés par les entreprises.

Les étudiants diplômés de Sciences Po intéressent également les recruteurs pour les méthodes de travail qu’ils ont pu acquérir pendant leur formation. Il y a plus de travail qu’en fac, mais moins qu’en classe préparatoire. Sciences Po reste une école qui impose à ses élèves une certaine charge de travail. Rien d’insurmontable évidemment, mais suffisamment pour former des élèves qui savent travailler efficacement.

Les travaux que vous aurez à rendre à Sciences Po (dissertations, notes de synthèse, exposés…) vous permettront d’affiner votre esprit de synthèse. C’est certainement la caractéristique principale des étudiants de Sciences Po. C’est-à-dire être en mesure, sur n’importe quel sujet donné, d’extraire les grands enjeux et éléments clefs.

La dimension internationale

Évidemment, entre l’année à l’étranger et la place laissée à l’enseignement des relations internationales et des langues vivantes, impossible de passer à côté de la dimension internationale d’une formation à Sciences Po. C’est d’ailleurs ce qui attire chaque année des centaines de candidats intéressés par une carrière à l’étranger ou la diplomatie.

L’apprentissage par les expériences professionnelles ou associatives

Contrairement à la classe préparatoire aux grandes écoles (CPGC), Sciences Po base son enseignement tant sur la formation académique que sur l’expérience professionnelle ou associative. Stages obligatoires, associations étudiantes à Sciences Po, projets collectifs, junior consulting… Autant d’éléments centraux d’une scolarité à Sciences Po et qui amènent les étudiants à apprendre en faisant, au contact de la réalité des projets.

Une formation donc très complète, mais qui ne conviendra pas à tous ! Ne foncez pas tête baissée en raison de « l’image » que renvoie Sciences Po. Prenez le temps de comprendre ce qui se cache derrière tout ça. Cela vous évitera d’avoir à vous réorienter après votre premier semestre de cours.

Sciences Po vous attire mais vous ne savez pas quel concours tenter ? Retrouvez notre article : Paris, concours commun, Bordeaux, Grenoble… comment choisir ?

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Les meilleurs extraits de rapports de jury à lire et à relire !

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Les rapports de jury sont un passage obligé pour tous ceux qui veulent comprendre les attentes du concours de Sciences Po. Cela vous permettra de savoir ce qu’il faut travailler en particulier. Nous vous avons sélectionné ici quelques extraits et idées clefs, mais n’oubliez pas de les lire dans leur IN-TE-GRA-LI-TE (retrouvez-les ici : Histoire , Langue vivante , Epreuve à Option)

  1. Ne faire aucune faute d’orthographe

« Il est absolument acquis qu’une copie bien écrite, bien présentée et pas (ou peu) affaiblie par des fautes sera valorisée. A contrario, les correcteurs sont invités à sanctionner les copies défaillantes sur ces points, y compris bien entendu lorsque celles-ci sont correctes voire bonne sur le fond de l’argumentation. » Rapport de jury, concours commun, 2015

« Un devoir allant à l’essentiel, sans effets rhétoriques inutiles mais en soignant l’expression par la clarté de la langue et de l’écriture et la vigilance orthographique. Si la qualité de l’orthographe, de la syntaxe ou de la lisibilité était nettement insuffisante, les correcteurs en ont tenu compte dans la note, ne serait-ce que pour valoriser par contrecoup tous les candidats éprouvant des difficultés en ces matières et ayant fait les efforts nécessaires de formation, d’exploitation du brouillon, d’écriture maîtrisée et de relecture pour les pallier. » Rapport de correction, Sciences Po Paris, Epreuve d’histoire, 2016

 

  1. Développer une réflexion personnelle

« S’interroger en profondeur sur le sujet posé, ne pas se lancer sans réflexion dans une récitation de leçon de terminale correspondant à la période du sujet » Rapport de jury, concours commun, Epreuve d’histoire, 2013

« Tout sujet d’exercice devient ipso facto sujet de réflexion personnelle, fût-elle modeste compte tenu du temps imparti » Rapport de correction, Sciences Po Paris, Epreuve d’histoire, 2013

  1. Définir et analyser les termes d’un sujet

« Les efforts de définition et de conceptualisation ayant été absents de la plupart des copies, ils ont permis à ceux des candidats qui les ont développés de se distinguer » Rapport du jury, Concours Commun, Epreuve d’histoire, 2013

  1. Argumenter

« S’agissant du plan et de la démonstration, il faut essayer d’aller plus loin que le modèle binaire « oui/non », « d’accord/pas d’accord » et de toujours nuancer son propos car l’exercice qui est demandé n’est pas un exercice militant ni un manifeste politique ou syndical » Rapport de jury, concours commun, 2015

« La capacité à étayer son propos en ne tirant pas trop vite à la ligne. Les correcteurs préfèrent de loin les copies qui proposeront un nombre limité d’arguments, de développements et d’exemples mais qui les développeront de façon satisfaisante plutôt que les copies multipliant les développements allusifs et n’entrant en fait jamais dans les détails » Rapport de jury, concours commun, 2015

  1. Faire appel à des exemples précis pour illustrer ses arguments

« Lorsque le candidat a su illustrer son propos en faisant appel à des références précises (actualité, histoire, société, institutions, ect..) et opportunes, sa copie s’en est toujours trouvée bonifiée. » Rapport de jury, concours commun, Epreuve de langues vivantes, 2013

  1. Lire la presse étrangère pour réussir l’épreuve de langue vivante

« Il est presque aussi important pour les correcteurs que les élèves soient de bons linguistes que de bons spécialistes des questions politiques, économiques et sociales liées à l’aire linguistique considérée ». Rapport de jury, concours commun, Epreuve de langues vivantes, 2015

  1. Avoir une approche pluridisciplinaire en question contemporaine

« Une approche mono-disciplinaire, même convaincante, sera moins bien évaluée qu’une approche mixant les savoirs et s’efforçant de faire dialoguer des données issues de plusieurs disciplines. Ainsi, pour le sujet sur la famille, les références à des connaissances tirées des Sciences de la Vie et de la Terre ont été appréciées. » Rapport de jury, concours commun, Epreuve de question contemporaine, 2015

  1. Ne pas négliger la relation avec le lecteur/correcteur

« On communique par écrit pour être lu et compris et pour convaincre, pas pour tenir le lecteur à distance, l’irriter ou le laisser dans le doute sur ce que l’on a voulu exprimer. » Rapport de correction 2016, Sciences Po Paris, Epreuve d’histoire.

  1. Expliquer dans sa lettre de motivation ce que chaque expérience vous a apporté

« Il ne s’agit pas de répéter la liste de vos activités, mais de démontrer de quelle manière elles renforcent votre choix. Indiquez toujours quels bénéfices vous avez tirés d’une expérience. Par exemple, décrivez si tel emploi d’été vous a appris à travailler en équipe, ou si tel stage vous a donné confiance en vous-même pour vous exprimer en public » Site des admissions de Sciences Po Paris, rubrique lettre de motivation.

  1. Connaître les risques du bachotage excessif

« Certains étudiants se contentent d’exemples du début du siècle ou de citations de philosophes de l’antiquité sans articulation avec la dimension contemporaine des sujets et sans attention à la nécessaire contextualisation de la pensée. Les connaissances mal digérées, de nature stéréotypée (effet bachotage), ou la fascination pour l’anecdotique et le fait divers ont également été pénalisées par les correcteurs. » Rapport du président du jury, concours commun, Epreuve de question contemporaine, 2013

« Le bachotage n’assure pas spécialement la réussite. Certes, il convient de lire, de faire des fiches, de maîtriser un ensemble de connaissances. Mais il faut toujours les rapporter aux sujets précis ou problématiques spécifiques liées au sujet. Il convient donc de bien posséder les thèmes ou programmes en ayant toujours à l’esprit le recul critique, la curiosité intellectuelle et la compréhension d’ensemble. » Rapport de Jury, Concours commun, 2016

Pour aller plus loin : Les deux principes pour organiser efficacement son année. 

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10 citations pour garder sa motivation intacte jusqu’au jour J !

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Ce n’est pas toujours simple de rester motivé pour bosser jour et nuit quand on a aussi son bac à préparer et des amis qui nous proposent de sortir. Il faut souvent faire preuve de beaucoup de discipline ! Alors pour vous donner un petit coup de main, nous vous avons sélectionné 10 citations motivantes pour garder votre motivation intacte du premier jour de votre préparation jusqu’au dernier.

Vous pouvez d’ailleurs télécharger le PDF avec ces citations pour les imprimer et les accrocher au-dessus de votre bureau ! Allez, on s’accroche… le jeu en vaut la chandelle !

Nos 10 citations inspirantes

1. « Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. »  Sénèque

Motivation pour Sciences Po

2. « Croyez en vos rêves et ils se réaliseront peut-être. Croyez en vous et ils se réaliseront sûrement. » Martin Luther King

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3. « La sagesse suprême, c’est d’avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu’on les poursuit. »Francis Scott Fitzgerald

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4. « Le seul endroit où le succès précède le travail est dans le dictionnaire. » Vidal Sassoon

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5.« Le génie est fait d’un pour cent d’inspiration et de quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration. » Thomas Edison

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6. « Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi. » Georges Clémenceau

Motivation pour Sciences Po

7. « La persévérance, c’est ce qui rend l’impossible possible, le possible probable et le probable réalisé. » Léon Trotski

Motivation pour Sciences Po

8. « Les obstacles sont ces choses effrayantes que vous apercevez lorsque vous détournez les yeux de vos objectifs. » Henry Ford

Motivation pour Sciences Po

9. « Rien de grand ne s’est accompli sans passion. » Hegel

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10. « Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses… » D. Roosevelt

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2 principes pour organiser efficacement son année

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          Organiser efficacement sa préparation du concours de Sciences Po va vous demander de gagner en maturité dans vos méthodes de travail. En effet, il est nécessaire que vous soyez efficace pour avoir le temps de maîtriser le programme et de vous entraîner aux épreuves qui vous attendent. Pour cela, deux principes nous semblent essentiels à rappeler : 

  1. Le 80/20 : sélectionner ce qui doit être appris

Qu’est-ce ? Théorisé par Pareto qui constate qu’environ 80 % des effets sont produits par 20 % des causes.

En quoi cela s’applique-t-il à votre préparation ? Dans le cas de la préparation du concours c’est l’idée que 20 % de vos actions dans votre travail vont réaliser 80 % de votre note finale. Il faut donc absolument identifier ces 20 % pour concentrer tous vos efforts et votre temps dessus.

Comment faire ?

  • Lire attentivement les rapports de jury, vous pourrez ainsi comprendre ce qu’on attend de vous et donc quels sont ces fameux 20% qui vous permettront d’être admis. Retrouvez ici notre sélection d’extraits de rapports de jury. 
  • Regarder le programme de chaque épreuve et éliminer tout ce qui ne fait pas partie des connaissances requises. Par exemple, dans le Berstein et Milza, ouvrage recommandé pour préparer l’épreuve d’histoire, seule la moitié de ce manuel est concernée par le programme du concours de Sciences Po Paris. Il ne faut donc surtout pas vous lancer dans un fichage complet. Prenez le temps de trier avant d’apprendre.
  • Regarder les sujets des années précédentes pour savoir à quelle sauce vous serez mangé. Par exemple, ces cinq dernières années, l’article de presse de l’épreuve d’anglais du concours de Paris était toujours un extrait du journal The Economist. Vous pouvez donc passer le plus clair de votre temps à lire ce journal en particulier.
  1. Le flow : être 100 % investi dans ce que vous faites

Qu’est-ce ? Théorisé par Mihaly Csikszentmihalyi, le flow est un état mental atteint par une personne lorsqu’elle est intégralement plongée dans une activité, la concentration est alors à son maximum.

En quoi cela s’applique-t-il à votre préparation ? Dès que vous vous asseyiez à votre bureau il faut essayer d’être dans le flow et donc d’être dans un état de haute concentration pour acquérir plus rapidement et plus durablement les connaissances du programme.

Comment faire ?

  • Ne pas faire de multi-tasking. Concrètement ? Il ne faut pas vérifier son Smartphone toutes les 10 minutes. Il vaut mieux l’étreindre.
  • Prendre des pauses régulières pour ne pas rêvasser pendant les séances de travail. Cela vous est peut-être déjà arrivé, vous continuez à tourner les pages de votre manuel, et vos yeux continuent de suivre les lignes, mais vous vous réveillez 5 minutes plus tard sans vous souvenir de ce que vous avez lu. Il faut alors recommencer.
  • Prendre l’air et marcher pendant vos pauses pour laisser votre cerveau respirer avant une prochaine séance de travail.

            Devenir efficace dans ton travail est une chose qui ne s’acquiert pas du jour au lendemain. Il faut prendre le temps d’expérimenter ce qui fonctionne pour vous. Alors que certains adorent les bibliothèques universitaires, d’autres préfèrent travailler seuls dans leur chambre, il n’y a pas de formule toute faite, il faut tester et en tirer les conclusions qui s’imposent !

Nous vous conseillons de lire maintenant :

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10 choses que j’aurais aimé savoir avant de commencer à préparer le concours de Sciences Po

10 choses que j’aurais aimé savoir avant de commencer à préparer le concours de Sciences Po

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Maintenant que j’ai intégré l’IEP de Paris et que j’ai compris la « mentalité Sciences Po », il est facile pour moi de voir les choses que j’aurais dû faire ou ne pas faire pendant mon année de terminale. Voilà donc les 10 choses que j’aurais aimé qu’on me dise quand j’ai commencé à préparer le concours de Sciences Po et qui m’auraient fait gagner du temps et des points au concours !

  1. Travailler 15 heures pour jour n’est pas nécessaire

Pour qui prend le temps d’analyser ce qui est vraiment utile pour le concours et de chercher comment le faire de manière optimale, il est possible de réussir sans s’imposer un rythme classe préparatoire en Terminale. Mais cela ne veut pas dire qu’il ne faudra pas travailler en plus de votre bac, bien au contraire. Retenez qu’en lisant les rapports de jury par exemple vous pourrez gagner un temps fou sur votre préparation en ciblant les attentes.

Lire aussi : Les meilleurs extraits de rapports de jury à lire et à relire !

  1. Décidez dès le début de l’année quel(s) concours vous souhaitez présenter

Ainsi, s’éparpiller entre deux ou trois concours pour finalement n’en passer qu’un est une perte de temps. Cela s’avère chaque année fatale pour un certain nombre de candidats. Choisissez dès le début de l’année le concours sur lequel vous allez concentrer vos efforts !

Lire aussi : Paris, concours commun, Bordeaux, Grenoble… Comment choisir ?

  1. Les connaissances ne sont jamais une fin en soi

Une connaissance factuelle qui ne s’inscrit pas au sein d’une réflexion ne présente aucun intérêt pour le jury de Sciences-Po ! Souvenez-vous de ce barème implicite : votre note, c’est 70% de méthodologie et 30% de connaissances. Donc prenez le temps nécessaire pour comprendre les attentes de chaque épreuve et entrainez-vous jusqu’à les appliquer naturellement….

Lire aussi : 2 principes pour organiser efficacement son année

  1. Un engagement associatif sera vivement valorisé

Les trois types d’expérience qui donnent un sacré coup de pouce à votre dossier sont : les séjours à l’étranger, les engagements associatifs et la connaissance du monde du travail. Le dossier compte pour 50% de la note d’admissibilité et ces expériences pour la quasi-totalité de la note d’admission.

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  1. Multiplier le nombre de manuels est inutile et chronophage

Contrairement aux idées reçues, on ne vous demande pas d’avoir une culture encyclopédique. Choisir un ou deux manuels de bonne qualité et aux approches complémentaires est la meilleure façon d’optimiser votre travail.

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  1. En langue vivante on vous attend autant sur la grammaire que sur la connaissance de l’actualité du pays concerné

Si une maîtrise de la langue anglaise est nécessaire il ne faut pas non plus laisser de côté la connaissance de la culture de pays en question. Si vous passez l’anglais il faudra régulièrement lire la presse Britannique, Américaine et Canadienne. Vous y apprendrez des éléments factuels essentiels pour réussir tant l’essaie que la compréhension de texte.

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  1. La lettre de motivation est la pièce maîtresse de votre dossier, vous devez convaincre

Une lettre de motivation réussie doit être parfaitement structurée afin de convaincre votre lecteur du bien fondé de votre candidature. L’objectif est bien évidemment de lui donner envie d’en savoir plus.  Trop de candidats bâclent cette étape.

Lire aussi : 3 erreurs à ne pas commettre dans sa lettre de motivation pour Sciences Po

  1. Il faut absolument préparer les éléments qu’on veut porter à la connaissance du jury à l’oral de motivation

20 minutes d’entretien, c’est court : il faut optimiser son temps de parole pour être convaincant. Vous devez donc lister, puis vous entraîner à restituer, chacune des pièces maîtresses de votre candidature.

  1. Lire la presse oui, mais pas n’importe comment !

Pas besoin de livre le Monde, le Figaro et Libération intégralement chacun jour. C’est une perte de temps, il faut prendre du recul sur les sujets de fond et vous tourner vers des dossiers d’actualités qui proposent une analyse : Courrier international, Monde Diplomatique, hors-séries du Monde, Revue Débat…

  1. Une orthographe irréprochable et un vocabulaire soigneusement choisi sont les deux conditions sine qua non pour ne pas être immédiatement éliminé

Impossible d’échapper à cette dernière règle. On vous attend au tournant sur cette question. Pour vous améliorer nous vous conseillons de ne pas négliger l’étape de la relecture et de lire cet ouvrage : 99 questions à mon coach d’orthographe.

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5 sites et blogs à consulter régulièrement

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Les ressources en ligne pour préparer le concours de Sciences Po sont nombreuses, il est donc parfois difficiles de s’y retrouver. Pour vous faire gagner un peu de temps dans vos révisions voilà les 5 sites ou blogs incontournables pour préparer les concours des IEP. Bonne lecture !

  1. Sos Sciences Po

Créé par des étudiants de Science Po Paris, ce blog est rempli de bons conseils pour préparer le concours de Sciences Po. N’hésitez pas en plus à rejoindre leur groupe Facebook  pour poser les questions qui vous empêchent de dormir la nuit !

En savoir plus : https://sosciencespo.fr

  1. Eric Cobast

Il est devenu la référence professorale du concours de Sciences Po. Son blog est donc particulièrement utile pour préparer l’épreuve de question contemporaine du concours commun.

En savoir plus : http://blog.letudiant.fr/concours-sciences-po-iep/

  1. L’Etudiant

Un site qui n’est pas fait que pour le concours de Sciences Po mais qui a un contenu très pertinent sur le concours et les différences entre les IEP. Cela vous aidera donc à choisir le concours que vous souhaitez préparer en priorité.

En savoir plus : http://www.letudiant.fr/etudes/iep.html

  1. Bulles de savoir

Un blog dont les articles sont rédigés par des étudiants de Grandes Ecoles et traitent de sujets très variés (sociologie, littérature, histoire, critique de films, ect.). Ces articles vous permettront de comprendre un peu mieux comment on peut argumenter et étayer une réflexion personnelle sur des sujets divers et variés. Cela vous permettra enfin de développer votre Culture Générale.

En savoir plus : http://www.bullesdesavoir.com

  1. Rattrapage actu

Semaine de bac blanc, révision pour Sciences Po, compétition de tennis… On est donc parfois un peu dépassé par les activités. Il arrive alors que la lecture de l’actualité passe à la trappe. Heureusement il y a un site bien fait pour ça !

En savoir plus : http://rattrapages-actu.fr

Si vous connaissez d’autres sites ou blogs incontournables pour votre préparation,  indiquez les en commentaire !

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Les 10 fautes les plus courantes en langues vivantes

Les 10 fautes les plus courantes en langues vivantes

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            L’épreuve de langue vivante de Sciences Po est souvent stressante pour les candidats. Et pour cause, le niveau exigé au bac est loin d’être suffisant pour avoir une bonne note au concours de Sciences Po. Pourtant, il n’est pas forcément nécessaire d’être bilingue non plus ! Quelques bons réflexes suffisent pour se différencier de la masse des candidats. Et pour cela, rien de mieux que de connaître les fautes les plus souvent rencontrées par les correcteurs, puisqu’automatiquement : ne pas les faire c’est sortir du lot !

5 fautes les plus courantes au niveau de la méthodologie pour l’épreuve de langue vivante de Sciences Po

  1. La paraphrase

Paraphraser un texte consiste à reprendre les tournures de phrase de ce texte pour répondre aux questions au lieu d’utiliser ses propres mots. C’est donc un piège dans lequel tombe beaucoup de candidats puisqu’il donne le sentiment de répondre à la question. En réalité on vous demande bien de reformuler avec vos propres mots et d’analyser ou d’argumenter !

  1. Les réponses trop longues aux questions de compréhension de texte

Pour cela une seule solution : apprendre à synthétiser ! L’esprit de synthèse se travaille, il faut s’entrainer et s’entrainer encore jusqu’à en faire une habitude.

  1. A contrario, des essais non terminés ou trop courts.

Le plus souvent par manque de temps ou à cause d’un travail trop superficiel au brouillon. Et encore une fois, la seule solution face à cela est de s’entraîner. Il n’y a pas de secret !

  1. Des essais hors-sujet

Le hors-sujet est rarement lié à un manque de compréhension de la question, mais plutôt à une trop rapide analyse des termes du sujet et donc des limites du sujet. Ne foncez pas tête baissée dans la rédaction, il faut prendre le temps de bien décortiquer le sujet, et éviter ainsi de passer à côté. On ne juge pas seulement votre niveau de langue mais également votre capacité à répondre à un sujet donné.

  1. Une argumentation inexistante ou décousue

L’objectif de l’essai est bien de vous amener à argumenter ! Il faudra donc veiller à :

– chercher des arguments de qualité,

– trouver des exemples pour les illustrer,

– travailler les transitions entre chaque argument,

– s’assurer que les arguments permettent de démontrer une thèse et ne sont pas juste une succession d’idées.

5 fautes les plus courantes au niveau de la grammaire pour ceux qui choisissent l’anglais à l’épreuve de langue vivante de Sciences Po

Et puisque vous êtes nombreux à choisir l’anglais pour cette épreuve de langue vivante, nous avons aussi répertorié les 5 fautes faites le plus souvent en grammaire au concours de Sciences Po. Assurez-vous donc de bien maîtriser ces 5 points :

  1. Maîtrise insuffisante des temps verbaux.

C’est quoi des « temps verbaux » ? http://angleterre.org.uk/anglais/temps-verbaux.htm

  1. Confusion sur l’emploi de l’article défini « the »

Quand utiliser ou ne pas utiliser « the » ? http://www.letudiant.fr/examen/tests-examens-langues/l-anglais-facile-33-cours-d-anglais-pour-progresser-a-l-ecrit/cours-d-anglais-24-savoir-choisir-entre-a-the-ou-o.html

  1. Difficultés de construction comparatifs/superlatifs

Comment construire un comparatif ou un superlatif ? http://www.anglaiscours.fr/comparatif-anglais-superlatif-anglais.html

  1. Mauvaise utilisation des pronoms relatifs

Quand utiliser les pronoms relatifs ? http://www.anglaisfacile.com/exercices/exercice-anglais-2/exercice-anglais-4367.php

  1. L’utilisation trop peu fréquente de la voix passive.

C’est quoi la voix passive et pourquoi l’utilise-t-on en anglais ? http://www.ef.fr/ressources-anglais/grammaire-anglaise/voix-passive/

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